La drache nationale nous tombe dessus, hô misère... le vent prend de la puissance et des rafales, sous les conseils de Jéjé je décide de me poser quelques minutes sur la plage. La pluie disparaît, le vent se calme un peu, hop on remet ça.
Le soleil se pointe, magnifique ! Ce cher Jéjé qui voit que je peine un peux à rester au dessus des flots viens me corriger et là on voit directement à quoi ça sert de rider avec des pros, je ne suis pas encore Jésus mais je me fait quelques bords d'une cinquantaine de mètres, plus facile à gauche qu'à droite mais ça viendra. Le camp de 3 jours est négocié avec ma moitié, il me tarde de pratiquer plus assidûment ce vice
